Frenay ( Jean-Paul), Artificial paradise INC., 2009
Fiche technique de l'œuvre:
Support: Video
Realisation:
Jean-Paul Frenay
Production : Condor
Date: 2009
Visibilité sur internet: You tube,
viméo
Condition de diffusion et d’exposition: Internet
Langue d'origine: pas de langue
Artificial Paradise est
un court métrage 3D de Jean- Paul Frenay réalisé en 2009.
Artiste belge, réalisateur de court métrage aux effets spéciaux stupéfiants. Il à été plébiscité pour faire des spots de pub de multinationales telles que Nike, Peugeot ou Volkswagen.
Artiste belge, réalisateur de court métrage aux effets spéciaux stupéfiants. Il à été plébiscité pour faire des spots de pub de multinationales telles que Nike, Peugeot ou Volkswagen.
La minutie de la
réalisation est remarquable, qualité de l’esthétisme biomécanique (tant par les
couleurs, les mouvements, les textures, ou encore l’évolution de ces machines),
les innombrables détails, le voyage dans cet espace indéterminé.
Les deux couleurs principales de la vidéo, sont assez distinctes, le blanc est la couleur du partage, des machines, de la matière soit disant réelle, blanc comme couleur pure et créatrice. Tandis que le noir celle de l’information, du contenu, matière informelle, inconnue, étrangère, obscure, chaque espace/temps à sa couleur.
Au début de court métrage nous pouvons reconnaître l’apparition d’une forme aux inspirations organiques. Autrement dit, trois tentacules aux extrémités lumineuses surgissent du corps d’une sorte de méduse pour laisser apparaître un cube. Celui-ci va se décomposer en centaines d’autres cubes, soit chaque cube est égal à un individu.
Le spectateur va donc être plonger dans un cube où se cache une identité humaine. A travers ou pour cette personne x, les machines sont omniprésentes et sans cesse sollicitée, celles-ci travaillent à plein régime.
Les deux couleurs principales de la vidéo, sont assez distinctes, le blanc est la couleur du partage, des machines, de la matière soit disant réelle, blanc comme couleur pure et créatrice. Tandis que le noir celle de l’information, du contenu, matière informelle, inconnue, étrangère, obscure, chaque espace/temps à sa couleur.
Au début de court métrage nous pouvons reconnaître l’apparition d’une forme aux inspirations organiques. Autrement dit, trois tentacules aux extrémités lumineuses surgissent du corps d’une sorte de méduse pour laisser apparaître un cube. Celui-ci va se décomposer en centaines d’autres cubes, soit chaque cube est égal à un individu.
Le spectateur va donc être plonger dans un cube où se cache une identité humaine. A travers ou pour cette personne x, les machines sont omniprésentes et sans cesse sollicitée, celles-ci travaillent à plein régime.
Mais nous avons le
rappel que c’est quelqu’un qui est derrière tout ca grâce à la recomposition de
cet individu ou plutôt d’une silhouette bionique à partir de millions
particules géométriques dans l’enceinte même de son cube, son espace. Celle-ci
va récupérer une information assez violement qui lui sera retiré par la méduse qui la projettera a l’intérieur
du cube. C’est un paysage ou l’on ressent la vitalité terrestre tant par les
couleurs bien chaudes, la présence du soleil; des arbres ; des oiseaux. Soit un
lieu aux allures utopiques. Grand contraste entre la projection et le
projecteur car c’est le seul instant ou la présence de couleur ; de
vie ; de réalité est présente.
Nous pouvons faire un
lien immédiat entre les couleurs de chacun des éléments ; la vie terrestre
est colorée ; nuancée ; pigmatisée ; présence de lumière chaleureuse,
tandis que le monde technologique qui nous est montre est simplement blanc et
noir ; point.
La violence est assez
remarquable dans cet espace obscure par les mouvements brusques de toutes ces
formes accentués par ces sons saturés, mécaniques et très saccadés. Violence
qui sépare aussi ces deux mondes. Présente seulement dans l’enceinte mais à
l’inverse, l’extérieur est en complète plénitude, son seul devoir de récolter
des infos lui est chère. La violence est dévastatrice pour la nature et donc pour
l’homme.
Toutes informations
seraient stockées dans l’enceinte de cette création à l’échelle pharamineuse,
l’ensemble des mémoires humaines ne ferait plus qu’une afin de rassembler une
mémoire collective unique. Grâce à la technologie, des machines à programmation
scientifiques, aucunes données seraient perdu, soit conservable et réutilisable
à l’infini. Mais cela peut-il être possible ? Peut-on enregistrer les
expériences sensorielles de chacun à l’intérieur d’un cube, à l’intérieur de
quelque chose si ce n’est autre qu’a l’intérieur du monde même ?
Références:
Nick
Heighway,
Abstract Cinema
4D render tests
Des similitudes esthétiques et physiques ont été
trouvées entre cette vidéo et celle étudiée telles que les couleurs ;
certaines formes et l’espace. D’après le titre de la vidéo et quelques
recherches ; nous pouvons remarquer que c’était seulement un test
d’utilisation et de maitrise de la 4d ; aucune recherche intellectuelle.
Nous assistons au défilé de formes noires organiques puis mécaniques dans
l’enceinte d’un cube blanc.
http://www.youtube.com/watch?v=KyxA_9Ul8So&feature=related
2012-2013
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